Petit chômage pour la communion solennelle et la fête de la jeunesse laïque : quelles sont les règles ?
De nombreuses communions et fêtes de la jeunesse laïque auront bientôt lieu.
Un travailleur peut s’absenter de son travail avec maintien de sa rémunération le jour de la communion solennelle ou de la fête de la « jeunesse laïque » d'un de ses enfants ou de ceux de son conjoint ou partenaire cohabitant.
Cependant, lorsque la communion solennelle ou la fête de la jeunesse laïque tombe un dimanche, un jour férié ou un jour habituel d’inactivité, le travailleur pourra s’absenter le jour habituel d’activité qui précède ou suit immédiatement l'événement.
Si plusieurs enfants célèbrent leur communion solennelle (ou leur fête de la jeunesse laïque) le même jour, le travailleur n’aura droit qu’à un seul jour de petit chômage.
Attention : des dispositions dérogatoires plus larges peuvent être prévues au niveau sectoriel, individuel ou de l’entreprise. Si celles-ci sont prévues, elles doivent être respectées.
La première communion et la fête du printemps ne donnent pas droit à un jour de petit chômage.
Source(s) :
- A.R. du 28 août 1963 relatif au maintien de la rémunération normale des travailleurs pour les jours d'absence à l'occasion d'événements familiaux ou en vue de l'accomplissement d'obligations civiques ou de missions civiles, M.B. 11 septembre 1963.
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